Le parc

J’ai mis mes écouteurs sur mes oreilles avec ma musique préférée, les années 70. J’ai traversé le parc silencieux et gelé. La nature n’est pas morte en cette saison, elle est comme moi elle se repose et reprend des forces pour le printemps. Par ces grands froids j’étais pratiquement seule dans les allées du parc alors, j’ai chanté à haute voix le bonheur m’avais subitement envahie .J’ai continué à chanter et même danser dans ces allées désertées, j’en ai éprouvé une joie immense.

Seule, personne d’autre, je me suis rendu compte que je ne pouvais que compter sur moi pour parvenir à cet état sans l’avoir planifié. En fin de compte, être heureux ou ne pas l’être ne tient qu’à nous et à nous seul